![]() « Ne te réjouis pas de la chute de ton ennemi, et que ton cœur ne soit pas dans l'allégresse quand il chancelle, de peur que l'Éternel ne le voie, que cela ne lui déplaise, et qu'il ne détourne de lui sa colère. » Proverbes 24.17-18La Bible nous dit que la vengeance est l’affaire du Seigneur. Notre rôle consiste à aimer notre prochain et à lui pardonner, même quand ce qu’il fait nous semble impardonnable. Il nous faut apprendre à voir les autres au travers des yeux de Jésus, pleins de bonté, de pardon et même de tendresse. Le manque de pardon est si destructif que le Seigneur nous avertit de ne pas même pas nous réjouir quand notre ennemi tombe sous le jugement de Dieu. Ne résistons donc pas au méchant et prions pour lui, comme Dieu nous le demande. Dans l'évangile de Marc, Jésus associe le pardon de nos fautes au pardon que nous accordons aux autres. C’est un avertissement sérieux et nous devons absolument en tenir compte pour que rien ne fasse obstacle à nos prières. « Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. » Marc 11.25
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![]() Savez-vous qu’il est possible de se réconcilier… sans vraiment le faire ? Au-delà du non-pardon dont on connait les conséquences, la prise à la légère par une personne offensée d’une demande de pardon cause aussi beaucoup de dégâts. Allergiques aux conflits, certaines personnes font tout pour éviter de confronter les offenseurs en exprimant ce qu’elles ressentent vraiment. Même quand ces derniers prennent l’initiative de leur demander pardon, elles ont tendance à balayer la démarche du revers de la main avec des réponses neutres et apparemment très « spirituelles », ponctuées de « pas de soucis », de « tout va bien » et de « ce n’est pas grave ». Plutôt que de prendre le temps d’aller au fond des choses et de verbaliser leur blessure, leur tristesse et leur déception, elles préfèrent balayer la poussière sous le tapis et faire comme si rien n’était. Cette réaction d’apparence très religieuse n’a rien à voir avec le pardon et la réconciliation selon Dieu. La profondeur de la réconciliation est toujours liée à la profondeur de l’échange qu’on a avec l’offenseur qui se repent. La suite donne toujours une idée de la qualité du pardon. Si l’on continue d’éviter l’offenseur après qu’il ait exprimé des regrets et demandé pardon, c’est qu’on ne lui a pas véritablement pardonné. « Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. » Marc 11.25 ![]() J’aime bien le livre de Néhémie dans la Bible. Cet homme, vivant en exil et loin du pays de ses ancêtres, se laisse interpeller par la situation de Jérusalem. Le Temple avait bien été reconstruit, mais l’insouciance du peuple avait laissé les murailles et les portes dans un état lamentable. À cette époque, une ville sans murailles était dans une fâcheuse position. Elle n’avait aucun moyen de se protéger contre les envahisseurs ou les pillards ni de contrôler qui en entrait ou sortait. De plus, cette ville était hautement symbolique pour tous les Juifs puisqu’elle était au centre de leur foi. Les ruines de Jérusalem symbolisaient d’une certaine façon la déchéance et la ruine du peuple d’Israël. Néhémie s’est dit qu’il devait faire quelque chose. Conscient des défis auxquels il devait faire face, Néhémie s’humilie devant son Dieu, confesse les péchés de son peuple et demande instamment l’aide du Seigneur. Sa requête approuvée par le roi de Perse, Néhémie s’empresse de se rendre à Jérusalem. À première vue, le texte donne l’impression qu’il est le seul à croire en un projet paraissant à prime abord impossible à réaliser. Malgré cela, il ne décourage pas et s’adonne à la prière (on mentionne dans ce livre pas moins de onze occasions où il a recours à la prière). Ni les railleries, actions et ruses décourageantes de ses opposants, ni la cupidité des chefs du peuple, ni les autres obstacles ne parviennent à freiner son élan. On le voit au final obtenir la faveur du roi de Perse et la collaboration des habitants de Jérusalem. Les murailles et les portes sont finalement reconstruites en un temps record de 52 jours. Ce projet, à prime abord impossible à réaliser, est devenu une réalité parce qu’un homme s’y est engagé à fond et a pris le temps de prier assidûment. Cela ne devrait-il pas être un modèle pour chacun d’entre nous ? ![]() Est-ce que vous connaissez Kathleen Kelly ? Kathleen Kelly (Meg Ryan), c’est l’héroïne du film «Vous avez un message» («You’ve Got Mail»). Kathleen tient une librairie de quartier dont elle a hérité de sa mère. Grâce à cette échoppe au charme incontesté, qui semble être le summum en matière de service à la clientèle personnalisé, une ribambelle d’enfants peut se lancer à la découverte de la lecture dans un cadre des plus enchanteurs. Tout va bien, jusqu’à ce que la bannière « Fox Books », une chaîne reconnue pour éliminer rapidement ses concurrentes, ouvre une librairie de grande surface au coin de la rue. En désespoir de cause, Kathleen déploie de grands efforts pour maintenir son commerce à flot et garder sa clientèle. Mais, comme elle ne fait pas le poids, elle finit malgré tout par être obligée de mettre la clé sous la porte. Il y a des jours où je peux m’identifier à elle. Pas facile aujourd’hui de lancer une initiative chrétienne en ligne quand les grands ministères et organismes francophones semblent occuper toute la place et occulter notre modeste « boutique ». Malgré les efforts déployés, on ne semble récolter que peu de fruits, et on fait souvent face à de l’apathie quand ce n’est pas à de l’indifférence. Le découragement frappe régulièrement à la porte, et la tentation est souvent grande de laisser tomber et de passer à autre chose. La seule différence avec Kathleen, toutefois, c’est qu’il y a un acteur de poids dans le scénario de nos vies. Dieu lui-même tient la barre de notre destinée. Après tout, la Bible elle-même ne nous dit-elle pas de ne pas mépriser les petits commencements ? S’il y a des petits commencements, c’est qu’il doit bien avoir aussi de grands accomplissements, non ? Quand l’apôtre Paul nous dit que notre Dieu pourvoira à tous nos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ (Philippiens 4.19), cela ne signifie-t-il pas qu’il va aussi répondre aux besoins de nos ministères, quelques petits qu’ils soient ? La réponse est oui, car, comme disait un frère que j’ai bien connu par le passé : « Dieu donne ce qu’il ordonne ». Il s’ensuit que le Seigneur donne toujours les moyens d’accomplir les missions qu’il nous confie. Accrochons-nous à ses promesses. La victoire est assurée ! Être mère, nul ne l’ignore, c’est vraiment une vocation, une prouesse. Il te serait pourtant tellement facile de trouver des raisons de négliger cette responsabilité, telles que les contraintes de ton travail et de ta vie personnelle, ainsi que les mille et une activités que tu aimerais pouvoir faire. Ce n’est pas ton cas, toi qui as fait un autre choix.
Non seulement trouves-tu toujours le temps et la force d’accomplir les besognes les plus ardues de la vie, même après une journée de dur labeur à ton travail, mais tu t’arranges encore pour dénicher l’énergie de s’occuper de ceux que Dieu t’a confiés. Perle rare, toujours à la tâche, tu te lèves souvent aux premières heures et ne te couches que bien après que tes rejetons soient parvenus au royaume des rêves. Tu sais te donner à fond à cette mission ingrate et tu te consacres entièrement à ces petits êtres qui, sachant être si mignons, charmants et aimables à certains moments de leur vie, deviennent si facilement ingrats à d’autres. Malgré le vent souvent contraire, les vagues énormes, tu choisis de t’appuyer sur ton Seigneur sans te laisser troubler par les tempêtes de l’océan de ta vie. Animée par une affection sans borne et par la vision d’un avenir meilleur, tu persévères et plantes sans relâche ta semence dans une terre qui, de prime abord, semble si inféconde. Loin de te laisser rebuter par les difficultés, tu mets la main à la charrue et persévères. Un jour, tes enfants regarderont en arrière et diront : « Si nous sommes devenus ce que nous sommes aujourd’hui, c’est grâce à l’amour, à la tendresse, à la patience, à la persévérance, au courage et à la passion de notre chère maman, une femme véritablement exceptionnelle ». La grâce est trompeuse, et la beauté est vaine; la femme qui craint l’Éternel est celle qui sera louée. Récompensez-la du fruit de son travail, et qu’aux portes ses œuvres la louent. Proverbes 31 :30-31 Chère enfant, ta stature spirituelle, ta maturité, ta force de caractère et ton courage sont un modèle pour tous. Sache que je t’admire et que je t’aime beaucoup. Moi, Jésus, ton Seigneur et ton Dieu, je te souhaite une merveilleuse fête des Mères. ![]() De nos jours, on se laisse souvent impressionner par les chiffres. Récemment, j’ai entendu une personnalité du monde évangélique dire dans Facebook combien il était enchanté d’avoir visité une mégaéglise de 30 000 membres aux États-Unis et qu’il aimerait bien voir des communautés de ce genre un peu partout dans son pays. J’avoue que cela m’a un peu choqué. Comme si l’Église de Jésus-Christ était une affaire d’immenses édifices, de vastes programmes, de services et de structures organisationnelles ! Comprenez bien que je ne suis pas contre le principe des grandes églises qui ont leur place dans certains contextes. Cela étant dit, Dieu se complaît plus à utiliser les choses faibles de ce monde que les fortes afin que la gloire lui soit entièrement attribuée. L’histoire de Gédéon et de ses 300 hommes en est une bonne illustration. Si on fait un rapide calcul, on se rend compte que les troupes de Gédéon étaient composées de 32 000 hommes au départ. Comme le Seigneur trouvait qu’ils étaient trop nombreux et qu’ils auraient pu attribuer leur victoire à leurs propres efforts, il s’est arrangé dans un premier temps pour que 22 000 d’entre eux retournent chez eux. Aux yeux de Dieu, cela n’était pas assez. Trouvant qu’il y en avait encore trop, il a fait un tri dans les 10 000 restants et seuls 300 ont passé le test. « Et l’Éternel dit à Gédéon : C’est par les 300 hommes qui ont lapé que je vous sauverai et que je livrerai Madian entre tes mains. » Juges 7.7 Cette petite troupe a ensuite suivi par la foi des directives à première vue insensées. Elle a pourtant remporté une victoire éclatante sur une armée bien plus nombreuse… presque sans combattre (lire tout le chapitre 7 du livre des Juges). Ce que cela nous dit, c’est que la victoire appartient à l’Éternel et que les impressions que l’on peut avoir sur les rapports de force n’ont aucune réelle importance. Même si votre intervention paraît à vos yeux et à ceux des autres comme méprisable, Dieu peut s’en servir pour remporter une victoire éclatante dans votre vie et dans celles de vos semblables. Accrochons-nous donc au Seigneur plutôt qu’aux hommes ou aux circonstances ! Il nous conduira au triomphe… pour sa gloire ! ![]() De nos jours, on constate parfois que de nouveaux projets chrétiens en ligne connaissent initialement une croissance fulgurante. Les gens s’y joignent souvent parce que telle ou telle personnalité les a invités, et c’est cela qui motive beaucoup d’entre eux. Le culte de la personnalité pèse souvent très fort dans la balance à notre époque, et le monde chrétien n’y échappe pas. Le problème, c’est que certains de ces projets sont, par la suite, laissés à l’abandon par leurs créateurs qui n’ont pas le temps ou ne voient pas la nécessité d’animer leur communauté. C’est un peu comme l’horticulture. Vous pouvez planter le plus beau jardin qui soit, si vous ne l’entretenez pas, vous finissez par avoir surtout une invasion de mauvaises herbes. La tentation peut être grande de s’attendre à ce que tout se passe bien sans avoir à mettre la main à la pâte. Certains se disent : « Puisque mon ministère est bien établi et connu, je n’ai pas besoin de m’y investir. Ça va marcher tout seul ». Ce n’est toutefois pas ce que l’on constate dans les plateformes et groupes en ligne, et cela est désolant. En effet, on peut voir que les résultats ne sont souvent pas à la hauteur des attentes. Certains projets finissent par s’essouffler et d’autres par mourir. En vérité, le lancement d’une nouvelle communauté chrétienne en ligne s’apparente à la création d’une nouvelle église ou d’une nouvelle entreprise. Il ne suffit pas d’avoir une idée de génie et le meilleur concept, il faut s’investir personnellement pour que le sentiment d’appartenance prenne racine et que des liens puissent se tisser. Comme il faut souvent partir de rien, les débuts sont à la fois difficiles et chronophages. La réussite instantanée n’existe pas dans ce domaine, et il n’y a pas de raccourcis. La vision ne se réalise que si l’on y met du sien et qu’on persévère le temps qu’il faut. À cet égard, aucun implanteur d’église n’a réussi sans s’être d’abord beaucoup investi personnellement. La création d’une communauté en ligne n’échappe pas à ce principe. Si vous faites cela, le succès n'est bien sûr pas garanti, Mais si vous ne le faites pas, c'est l'échec à coup sûr ! ![]() « Car le royaume des cieux est semblable à un maître de maison qui sortit dès le matin, afin de louer des ouvriers pour sa vigne. Il convint avec eux d’un denier par jour, et il les envoya à sa vigne. Il sortit vers la troisième heure, et il en vit d’autres qui étaient sur la place sans rien faire. Il leur dit : Allez aussi à ma vigne, et je vous donnerai ce qui sera raisonnable. Et ils y allèrent. Il sortit de nouveau vers la sixième heure et vers la neuvième, et il fit de même. Étant sorti vers la onzième heure, il en trouva d’autres qui étaient sur la place, et il leur dit : Pourquoi vous tenez-vous ici toute la journée sans rien faire ? Ils lui répondirent : C’est que personne ne nous a loués. Allez aussi à ma vigne, leur dit-il… Ceux de la onzième heure vinrent, et reçurent chacun un denier. » Matthieu 20.1-7, 9 J’ai souvent lu ce passage sans vraiment saisir son sens profond. Par le passé, je n’y voyais qu’une belle anecdote parlant d’un maître généreux qui aimait faire du bien autour de lui. En effet, il est intéressant de voir ceux qui n’avaient travaillé qu’une seule heure obtenir le même salaire que ceux qui en avaient travaillé 12. Mais, j’ai finalement compris que ce passage s’applique avant tout à notre engagement chrétien et que Dieu accueille tout le monde, même les retardataires comme moi. Comme c’est mon cas, certains d’entre vous ont peut-être passé une grande partie de leur vie à s’intéresser plus aux choses du monde qu’à celles de Dieu. Tièdes et mondains, nous n’avions pour ainsi dire pas d’impact autour de nous, car les autres ne voyaient en nous aucune différence notable. Notre sel avait en effet perdu sa saveur. Mais, tout n’est pas perdu. Si le Seigneur frappe à la porte de votre cœur aujourd’hui, sachez qu’il n’est pas trop tard pour lui répondre et entrer dans votre destinée céleste. Certains d’entre nous sont restés trop longtemps sur la place du village à ne rien faire alors que la moisson battait son plein. Nous sommes maintenant rendus à la onzième heure de l’horloge de Dieu. Le temps est court et la Bible nous dit que la dernière moisson sera très grande. Aujourd’hui, encore une fois, Dieu vient et souhaite envoyer dans sa moisson ceux et celles qui sont prêts à se mettre au travail pour lui. Allons-nous lui obéir et nous mettre à l’œuvre ? À son retour, nous trouvera-t-il dans sa vigne en train de travailler ? Notre récompense céleste dépendra de notre décision. Assurons-nous que ce soit la bonne ! ![]() La Bible a beaucoup de choses à dire à propos de la peur, et pour cause ! La peur est l'une des armes les plus redoutables que l'ennemi utilise pour faire dérailler la destinée des chrétiens. La peur en elle-même n'est pas mauvaise. Elle fait partie de la palette des émotions humaines. Elle se manifeste lorsque la situation nous échappe, lorsque nous n’avons, ou pensons n’avoir, plus aucun contrôle. Mais, quand elle en vient à nous dominer et à nous paralyser, nous sommes alors loin de la volonté de Dieu à notre égard. À cause d'elle, on peut en effet passer à côté de ce que le Seigneur a prévu pour nous. « Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. » Philippiens 4.6-7 ![]() Par les temps qui courent, on voit beaucoup de gens paniqués faire des choses qu’ils ne feraient pas normalement. Comme notre vie habituellement tranquille se voit grandement perturbée, cela peut nous déstabiliser et nous devons apprendre à réagir de la bonne manière si nous voulons garder notre paix et notre joie. La peur ayant tendance à être plus contagieuse qu’un virus, que faire en tant que chrétiens ? Je crois que la première ligne de défense est la prière. Rien de tel que de parler à Dieu pour obtenir encouragement et réconfort. Il ne faut pas hésiter à lui confier toutes nos craintes et à nous en remettre complètement à lui. « Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. » Philippiens 4.6-7 Ensuite, pourquoi ne pas rechercher des promesses bibliques qui rappellent la fidélité de Dieu envers ses enfants, les apprendre par cœur et les proclamer chaque fois que le doute tente de s’installer dans votre esprit ? À force de le faire, votre foi va grandir et votre peur diminuer. Si vous n’en connaissez pas, une simple recherche dans Google avec des mots clés appropriés (par exemple, paix de Dieu, promesse, verset biblique) vous permettra d’en trouver facilement. « Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ. » Romains 10.17 Personnellement, j’ai aussi trouvé que les chants de louange contribuent à me redonner la paix. « Et moi, je chanterai ta force ; dès le matin, je célébrerai ta bonté. Car tu es pour moi une haute retraite, un refuge au jour de ma détresse. Ô ma force ! c'est toi que je célébrerai, car Dieu, mon Dieu tout bon, est ma haute retraite. » Psaume 57.16-17 Le ciel s’assombrit, mais la lumière de notre Dieu continue de briller dans notre cœur. Ne nous laissons donc pas abattre par ce qui se passe dans le monde. En Jésus-Christ, notre avenir est radieux ! |
ronald dilworthTraducteur, passionné de Jésus, des langues, de plein-air et de l’insolite, et ancien globe-trotter Archives
Août 2020
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